association internationale pour une politique industrielle des technologies de l'esprit
une autre approche de l'Entropie, selon le Pr Marc Henry, entre science et conscience... (a 35mn du debut de l'enregistrement de la conférence ...)
Bonjour,
je souhaitais partager un certain angle d’approche de la microcosmologie à travers une réflexion personnelle que je complète avec l’expérience de 2 intervenants et en m’appuyant sur 2 questions évoquées par Bernard Stiegler : celle de "l'expérience infini de la limite" et de la nécessité de l'effroi, lui-même se référant à ces deux réflexions de philosophes:
Une rencontre riche en saveur et tanin comme avec d'autres "éveillés", au-delà du jugement que l'on peut émettre sur la rationnalité du discours, et meme si j'y trouve quelques caricatures notamment sur les descriptions d'attitudes qui le concernent ou concernent des tendances générales, dont cette personne oubli (à mon humble avis) de réinscrire dans un lieu et une époque dont elles dépendent fortement.
"Emmanuel Kant ne pouvait pas connaître l'état d'urgence noétique, parcqu'il est provoqué par l'Anthropocène " mentionnait Bernard dans sa quatrième séance du pharmakon de cette année.
Bonjour,
Je lis des ouvrages plus haut que mon "séant", je pensais néanmoins opportun de faire des rapprochements entre des citations et le discours de Bernard (reformulé à partir de son intervention sur France Culture le 10 juin 2016) vous proposant plus un choix, là où votre oeil vous arrêtera et finissant par une question de conclusion (puisque c'est l'"ère de l'inversion") :
"Ce n'est pas la conscience qui détermine la vie, mais la vie qui détermine la conscience"
Cette citation de Marx et Engels de l'Idéologie Allemande dont j'ai débuté la lecture précède un passage sur l'idéologie qui me rappel une citation d'Albert Camus sur le même sujet et me fait mieux comprendre je pense, pourquoi Bernard Stiegler a commencé sa philosophie comme marxiste (au sens de Marx..) et matérialiste.
Je me sens tout petit ici, mais je tenais à revenir sur un passage du discours de Bernard Stiegler : la première séance de Pharmakon 2015 (qui concernait l’Anthropocène) qui ne remet pas en cause l’essentiel du discours mais qui m’a tout de même embarrassé de la part de l'auteur, d’autant plus que j’ai fait moi-même cette erreur (si erreur il y a )…